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21 mars 2023
Mais malgré l’attachement que nous avons pour nos forêts et la visibilité grandissante de l’enjeu de leur conservation, la déforestation à l’échelle mondiale ne fait qu’augmenter. Sur ces vingt dernières années (2001-2021) près de 11% du couvert végétal mondial a été perdu, principalement dû aux activités humaines (GFW). Or, 70% de toutes les maladies émergentes et la quasi-totalité des pandémies (Zika, Ebola, Nipah, etc.) sont des zoonoses provenant d’animaux sauvages (IPBES). La déforestation et la perte de biodiversité dans les forêts augmentent la prévalences des virus et autres maladies dans les populations animales. L’augmentation des interactions entre humains et animaux sauvage entraîne une augmentation le risque de transmission de ces maladies à l’homme.
La question de l’avenir des forêts est au cœur de notre travail à SalvaTerra. A notre échelle, nous essayons de contribuer à la gestion durable et la protection de ce patrimoine inestimable à travers les travaux et études que nous réalisons actuellement :
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10 Nov. 2025
Dans le cadre de l’Évaluation au champ large (ECL) des interventions du Groupe AFD et du FFEM dans le biome amazonien, SalvaTerra et TERO ont rédigé pour l’Agence française de développement un nouveau numéro de la collection Questions de développement (QDD n°97 – octobre 2025), intitulé « Quels leviers pour freiner la déforestation sur les fronts pionniers en Amazonie ? ».
21 Oct. 2025
Menée par le consortium SalvaTerra–TERO, l’Évaluation au champ large (ECL) analyse près de deux décennies d’interventions du Groupe AFD et du FFEM en faveur des forêts du biome amazonien, à travers 37 projets mis en œuvre dans huit pays. L’étude dresse un bilan inédit des approches françaises en matière de conservation, de bioéconomie et de gouvernance autochtone, et identifie les leviers pour renforcer leur impact à l’horizon 2030
14 Oct. 2025
En juin 2025, SalvaTerra a conduit une mission de diagnostic de la filière de la rose de Damas en Turquie et une évaluation des dernières avancées en matière de droits humains. Celle-ci a combiné une analyse documentaire approfondie, des visites de parcelles, et des rencontres avec l’ensemble des acteurs : travailleurs saisonniers, agriculteurs, collecteurs, coopératives, transformateurs, associations locales et ONG. Cette étude a permis de formuler un plan d’action pragmatique pour continuer à porter cette filière d’importance vers un modèle conciliant durabilité et éthique, en améliorant notamment les conditions de vie et de travail à l’amont et à l’aval.